Brève biographie

Anne a eu inconsciemment un contact avec le ciel dès l'âge de 6 ans. Sa maman bien-aimée, que le bon Dieu a emmenée au ciel à l'âge de 33 ans, quelques jours après sa naissance, le 20 août 1941, lui a beaucoup manqué.

Sa tante, qui l'avait recueillie et élevée comme sa propre enfant, a attisé sa nostalgie de sa mère au ciel. Elle courait souvent vers elle au cimetière pour lui confier ses chagrins et ses larmes. Elle recevait toujours une réponse consolante et la racontait avec joie. Dans son cœur, elle avait la certitude d'avoir parlé à sa maman au ciel.

Les expériences qu'elle a vécues à cette époque ont été étouffées par de nombreuses influences mondaines. Elle s'est mariée et a eu un fils. Lorsque des problèmes sont apparus concernant une maladie grave et incurable, elle a crié au Père céleste dans sa détresse. Tout à coup, dans le ciel étoilé, elle a vu une figure paternelle dans un cercle lumineux.

Il lui a parlé d'un ton aimant et bienveillant. Il lui dit : "Tu es mon enfant bien-aimée. Je te garderai et te protégerai. Fais souvent appel à moi, car je t'entendrai.' Cela s'est passé en 1983, et soudain, elle a réappris à prier le rosaire et a complètement changé de vie. Elle l'a entièrement dirigée vers Dieu et a subi une transformation complète. Elle entendait souvent la douce voix de la Sainte Mère.

Ce n'est que plus tard qu'elle s'est consacrée dans le Mouvement de Schoenstatt à la Mère trois fois Admirable, Reine et Victime de Schoenstatt en 1989 dans l'Alliance d'Amour et en 1991 elle a scellé l'Approfondissement de l'Alliance d'Amour.

En 1987, sa maladie incurable est devenue si grave qu'elle a cherché de l'aide et l'a trouvée en priant constamment le Rosaire. Une famille aimante a entendu parler de ses souffrances, l'a recueillie et s'est occupée d'elle jour et nuit jusqu'à Noël 1991, date à laquelle le miracle de sa guérison complète s'est produit, car elle avait offert sa vie à l'Enfant Jésus dans la crèche.

En 1994, sa première grande rencontre avec le Christ a lieu lors de la Sainte Communion à sa paroisse, Marie Reine de la Paix. Le 23 janvier, Jésus lui dit dans son cœur ce qui suit, qu'elle ne comprend pas à l'époque : "Mon enfant, tu es mon instrument volontaire. Je t'utilise comme je veux. Sois mon outil par amour pour moi. Par amour, je veux te faire mûrir. Je veux t'attirer à Moi par grand amour pour toi. Laisse les choses se faire à partir de toi. Ce n'est pas toi qui parles et toi qui agis, mais c'est moi qui parle à partir de toi et qui agis à travers toi."

Elle a répondu : "Oui Seigneur, utilise-moi et laisse-moi mûrir vers toi. Je suis toute à Toi." La Vierge a alors parlé dans son cœur : "Laisse-moi te former et t'éduquer, car je suis ta Mère céleste et tu es mon instrument et celui de mon Fils. Je t'aime." Elle a dit : "Oui Seigneur, je te remercie pour ma Mère du Ciel. Elle est mon plus grand trésor sur le chemin qui mène à Toi."

Elle a partagé cela avec le prêtre de sa paroisse.

Puis ont suivi d'autres brèves intercessions de Jésus-Christ pendant la sainte communion. De cette façon, il l'a préparée à de plus grandes choses.

Le 22 juillet 2004, elle a été frappée comme par un éclair lorsque, pendant l'exposition du Saint-Sacrement de l'autel de sa paroisse, Marie Reine de la Paix, Jésus a parlé à haute voix à travers elle aux 5 personnes présentes et lui est apparu. Le message comprenait : Conversion, Confession, Sainte Eucharistie, Prière du Rosaire et Adoration : " Servez, soyez humbles et obéissants, croyez et faites confiance ", entre autres, étaient ses paroles. Jésus lui avait annoncé à l'avance qu'il allait parler, mais elle-même n'avait aucune idée de la façon dont cela allait se passer.

Le 29 juillet 2004 a eu lieu l'apparition suivante et Jésus a prononcé ses messages par l'intermédiaire d'Anne à haute voix pendant l'adoration du Saint Sacrement exposé. Elle n'a pas pu y résister.

Dans l'église, elle a vu Jésus et la Sainte Mère. Ils pleuraient souvent des larmes amères de sang. Jésus apparaissait dans une robe de pénitence brune avec une couronne d'épines ou comme un roi dans une robe rouge avec une couronne et un sceptre. La Sainte Mère portait un manteau bleu clair couvert d'étoiles dorées, qu'elle étendait sur nous tous. Jésus n'apparaissait jamais sans sa mère céleste. Parfois, elle était autorisée à voir la Sainte Trinité.

Par la suite, elle a connu beaucoup d'hostilités et de calomnies, même de la part de certains prêtres, au point de détourner les fidèles. Ténèbres, éloignement de Dieu sans consolations et abandons alternaient avec apparitions, intercessions et joies.

Entre-temps, Jésus lui a envoyé un directeur spirituel compréhensif qui s'occupe d'elle de manière paternelle et aimante. Pour cela, elle est reconnaissante envers le Ciel tout entier.

Le Père céleste sur la mission d'Anne : "Elle aura ces messages jusqu'à la fin de ma venue, parce qu'il s'agit de la fondation de ma 'Nouvelle Église'. Et c'est ma messagère Anne qui a cette mission. Elle a promis de me rester fidèle avec son directeur spirituel et avec son groupe spécial, qui suivent tous le chemin difficile de mon Fils jusqu'au mont Golgotha. Ils veulent l'accompagner jusqu'au sommet. Et ils m'obéissent dans tous leurs pas." (29 août 2009)

"Et toi, Mon petit, tu as la plus grande tâche : annoncer la Sainte Eucharistie, les prêtres, Ma Sainte Cène Sacrificielle, la Cène Sacrificielle de Mon Fils et le Très Saint Sacrement de l'Autel pour la 'Nouvelle Église'... C'est ta grande tâche." (29 septembre 2009)

Elle, Ma messagère, dispersera Mes vérités dans le monde entier. Elle les criera parce qu'elle est convaincue de Ma vérité et parce que Je l'ai choisie. Ce n'est pas elle qui pourra proclamer la vérité dans son incapacité, mais c'est Moi-même en elle qui proclame Ma vérité à travers Mon Internet, que J'ai choisi à cet effet. (...) Je lui ai enlevé la peur humaine, parce que Je vis en elle et que Je souffre en elle. Pourquoi est-ce que je souffre en elle, mes bien-aimés ? Parce que je dois éprouver à nouveau cette souffrance aujourd'hui et la regarder à nouveau. C'est pour cela que j'ai choisi ma petite, pour pouvoir souffrir en elle, pour qu'elle accepte aussi volontiers ces souffrances et qu'elle sente que je suis le seul maître aussi de son âme, qu'elle me donne volontiers, parce qu'elle m'a abandonné sa volonté et qu'elle me l'a donnée avec joie. Je vis en elle et je travaille en elle comme le veut et le désire l'Omnipotence Divine. (25 janvier 2010)

Ma petite fait des choses surhumaines en ce moment et ses aides aussi. Crois-tu qu'elle le fait pour elle-même ? Non ! Elle le fait pour mon Église, - pour moi, le Père céleste dans la Trinité, - par amour. Elle se donne dans cette souffrance et se sacrifie et expie avec son directeur spirituel, avec son petit groupe. Ce groupe me plaît, parce qu'il persévère beaucoup dans la prière, se sacrifie et expie. Il ne se relâche pas dans l'amour, malgré beaucoup d'hostilités et de grands sacrifices. (14 février 2010)

Le Père céleste à propos de la mission d'Anne

Elle aura ces messages jusqu'à la fin de Ma venue, car il s'agit de la fondation de Ma nouvelle église. Et cette mission a pour messagère Anne. Elle a promis de me rester fidèle avec son directeur spirituel et avec son groupe spécial, qui vont tous suivre le chemin difficile de mon Fils jusqu'au mont Golgotha. Ils veulent l'accompagner jusqu'au sommet. Et ils m'obéissent dans tous leurs pas. (29 août 2009)

Et toi, Mon tout-petit, tu as la plus grande tâche : annoncer la Sainte Eucharistie, les prêtres, Ma Sainte Cène Sacrificielle, la Cène Sacrificielle de Mon Fils, et le Très Saint Sacrement de l'Autel pour la nouvelle Église. C'est votre grande tâche. (29 septembre 2009)

Elle, Ma messagère, répandra Mes vérités dans le monde entier. Elle les criera parce qu'elle est convaincue de Ma vérité et parce que Je l'ai choisie. Elle ne pourra pas proclamer la vérité dans son incapacité, mais Moi-même en elle proclamerai Ma vérité à travers Mon Internet, que J'ai choisi à cet effet. (...) Je lui ai enlevé la peur humaine, parce que Je vis en elle et que Je souffre en elle. Pourquoi est-ce que je souffre en elle, mes bien-aimés ? Parce que je dois éprouver à nouveau cette souffrance aujourd'hui et la regarder à nouveau. C'est pour cela que j'ai choisi ma petite, pour pouvoir souffrir en elle, pour qu'elle accepte aussi volontiers ces souffrances et qu'elle sente que je suis le seul maître aussi de son âme, qu'elle me donne volontiers, parce qu'elle m'a abandonné sa volonté et qu'elle me l'a donnée avec joie. Je vis en elle et je travaille en elle comme le veut et le désire l'Omnipotence Divine. (25 janvier 2010)

Ma petite fait des choses surhumaines en ce moment et ses aides aussi. Crois-tu qu'elle le fait pour elle-même ? Non ! Elle le fait pour mon Église, - pour moi, le Père céleste de la Trinité, - par amour. Elle se donne dans cette souffrance et se sacrifie et expie avec son directeur spirituel, avec son petit groupe. Ce groupe me plaît, parce qu'il persévère beaucoup dans la prière, se sacrifie et expie. Il ne se relâche pas dans l'amour, malgré beaucoup d'hostilités et de grands sacrifices. (14 février 2010)

Mon tout-petit, souviens-toi qu'une tâche bouleversante t'attend : Bouleversante, qui change le monde ! Peux-tu la comprendre ? Non, tu ne peux pas le comprendre, bien sûr. Mais moi, ton Père aimant, je suis là, je suis dans ton cœur en Trinité avec mon Fils. C'est Lui qui souffre en toi. Il souffre d'angoisse dans ton cœur. Mon petit bien-aimé, comme tu le sais, tu es la continuation de Ma bien-aimée Maria Sieler, qui est déjà dans Ma gloire. Fais souvent appel à elle, car elle t'aidera dans ce temps et dans ces tourments qui sont les tiens et que je dois te donner encore et encore, Mon petit bien-aimé. Mais tu deviendras plus forte. Tu grandiras dans le sacrifice, dans la volonté de tout prendre sur toi - dans l'amour. (3 avril 2010)

Et cette œuvre sacerdotale, qui doit voir le jour dans la succession de Ma messagère bien-aimée, qui est déjà dans Ma gloire, Maria Sieler, est en train d'être fondée. Oui, c'est Ma vérité et Je ne ferai pas un petit pas en arrière par rapport à cette vérité. C'est Mon désir et Ma volonté depuis longtemps. Et toi, Ma messagère, tu suivras les traces de Ma bien-aimée Maria Sieler. Tu pourras le faire parce que tu seras soutenue, - non pas par ta force, car tu es une créature faible, mais par la force divine. (5 avril 2010)

Et maintenant, un nouveau temps commence, Mes bien-aimés, pour ceux qui veulent encore accomplir entièrement la volonté de Mon Fils Jésus-Christ dans la Trinité. De lourdes souffrances viendront sur Ma petite messagère Anne, car Moi, Jésus-Christ, je devrai souffrir la plus grande souffrance, les plus grandes Heures d'Olivet, dans Ma messagère. Pourquoi, mes enfants ? Parce que je dois fonder la "Nouvelle Église", non pas vouloir, mais devoir ! Combien de temps ai-je attendu pour ne pas avoir à le faire. Mais maintenant, ma décision est prise. Ma petite messagère sera prête. Je lui ai demandé à maintes reprises et lui ai fait savoir qu'elle vivait et souffrait à travers mes souffrances, si je pouvais moi-même souffrir en elle. Elle ne m'a pas dit 'non' (...) Je travaille et je vis en toi, et tu te donnes à moi comme une âme sacrificielle, comme une âme expiatoire spécialement pour ma hiérarchie. (10 avril 2010)

J'ai choisi cette messagère pour Moi-même et l'ai ordonnée depuis l'éternité. Je l'ai rendue capable de souffrir de nombreuses maladies, de nombreuses souffrances mentales et physiques. Elle m'a dit son plein "oui" pour que je puisse continuer à faire souffrir la Nouvelle Église en elle. Comment cela se présentera et comment cela se déroulera, seul Mon Père Céleste le sait, - Lui seul. Il continue d'attendre de toi, Ma petite messagère, ton plein "oui". (...)
Elle est un rien, elle est Mon rien et reste un rien ! Elle est Ma fleur de souffrance et rien d'autre ! Je l'ai choisie et elle accomplira Ma volonté. Ce ne sont pas ses désirs qu'elle pourra satisfaire, mais Mes désirs qu'elle accomplira ! (11 avril 2010)

Oui, Mon tout-petit, tu auras des moments difficiles en ce moment et vous aussi, Mon groupe. Vous devrez soutenir Ma petite personne, ce qui n'est pas facile. Tout l'abandon et la solitude dont Mon Fils doit souffrir à nouveau pour la fondation de la "Nouvelle Église", parce que tout le clergé a abandonné Mon Fils. C'est pourquoi cette église est détruite. (13 juin 2010)

Mon petit bien-aimé souffre pour vous. Le chemin de la souffrance a recommencé pour elle, et le chemin de la souffrance est difficile. Oui, elle a repris le travail de la mystique Maria Sieler. En elle, Jésus-Christ, mon Fils, voudra et devra souffrir le nouveau sacerdoce. (7 août 2010)

Mon petit qui proclame ces paroles est pleinement dans la vérité du Ciel. Moi, le Père céleste, je l'ai choisie depuis l'éternité. Pendant de nombreuses années, avec beaucoup de maladies graves, elle a été préparée à cette grande tâche et à cette mission pour le monde entier. Oui, c'est une mission mondiale qu'elle doit accomplir. Et elle est prête à continuer à renoncer à sa volonté et à l'abandonner à Moi, le Père céleste dans la Trinité.

Il n'est pas facile pour toi, mon petit bien-aimé, d'endurer et de supporter ces souffrances. Très malade, tu es souvent couchée et alitée et tu souffres. Pourquoi souffres-tu, mon tout-petit ? Souffres-tu pour toi-même ? Non ! Alors pour qui souffres-tu ? Pour les nombreux fils de prêtres bien-aimés. Pour les nombreux évêques, surtout en Allemagne, pour ces chefs des bergers qui ne sont pas dans la vérité et pour Mon Saint Père bien-aimé. (...)
Il veut emprunter ce chemin de souffrance une fois de plus dans Ma fille prête et messagère Anne. Oui, elle est le successeur de la grande mystique Maria Sieler. Jusqu'à présent, cette mystique était inconnue. Vous, Mes bien-aimés, pouvez lire maintenant dans le livre offert combien de souffrances elle a endurées et combien de souffrances attendent encore Ma fille Anne. (4 septembre 2010)

Vous témoignez de votre Père céleste dans la Trinité et de votre très chère Mère qui vous accompagne. Tu témoignes des messages du Père céleste, car c'est seulement à toi, ma fille bien-aimée, que le Père céleste a proclamé la pleine vérité. Il n'y aura jamais personne qui reçoive ces messages directement du Père céleste et qui ait l'audace de les proclamer au monde entier. (7 octobre 2010)

Cependant, Mon désir tout entier est que Mon Fils Jésus-Christ souffre le "Nouveau Sacerdoce" et la "Nouvelle Église", en toi, petite âme humaine, que J'ai choisie depuis l'éternité, qui se met à Ma disposition dans cette souffrance. (7 novembre 2010)

Mon petit bien-aimé, combien cette expiation est importante pour toi ici dans Mon lieu de Wigratzbad. Combien de temps ai-je désiré cette expiation de ta part, jour et nuit. Et tu obéis à Mes paroles et tu suis Mes désirs et tu prêtes attention à Mon plan et non à tes désirs. Vos désirs sont différents. Car qui d'entre vous, Mon bien-aimé, veut souffrir, souffrir dans ce monde - volontairement et non pour lui, mais pour les autres ?
Toi, Mon tout-petit, tu m'as remis ta volonté et tu as donné cette volonté à Mon Fils. Il souffre en toi - Lui-même. Il souffre à nouveau de la souffrance de la croix. Et tu souffres aussi de cette souffrance dans ton âme. Ce que cela signifie, mon petit bien-aimé, tu l'as souvent expérimenté lorsque l'agonie devenait incommensurable en toi. Alors tu as crié vers Moi et Je t'ai envoyé du réconfort, bien que tu ne l'aies pas ressenti. Je t'ai aussi fait sentir mon abandon. Il doit en être ainsi, mon petit bien-aimé. Tu es en sécurité entre mes mains. (21 novembre 2010)

C'est Moi, Mes enfants bien-aimés, qui parle à travers cet instrument, Moi, le Père Céleste. Si puissants sont ces messages que Mon Petit donne sur Internet et si importants pour le monde entier. Mais combien de prêtres, tout le clergé, les autorités, n'obéissent pas à ces messages. Un jour, avant le jugement éternel, on leur demandera : "Pourquoi avez-vous rejeté Mes messages sur terre ? Pourquoi ? Pourquoi êtes-vous tombés ? N'auriez-vous pas pu tout faire pour Moi sur terre ? Et vous ne l'avez pas fait. Maintenant, je vous juge." (27 novembre 2010)

Mon petit bien-aimé, tu as senti tes douleurs d'expiation s'envoler au moment où tu étais prêt à recevoir ce message. Oui, Mon petit, tu es Mon jouet car tu es à Ma disposition, tu M'appartiens et tu es Ma propriété. Tu t'es donnée complètement et c'est à travers toi que souffre Mon Fils Jésus-Christ. Il souffre la nouvelle Église en toi et le nouveau sacerdoce. Tu es le successeur de Maria Sieler, Ma messagère, qui t'a précédé dans cette souffrance de vérité et d'expiation. Rappelle-toi toujours que c'est la souffrance de mon Fils Jésus-Christ dans la Trinité. Ta souffrance ira et elle viendra comme je le désire. Tu souffres aujourd'hui pour une certaine personne. Souffre et sois à ma disposition comme avant. (5 décembre 2010)

L'agonie du Christ

Mes chers frères et sœurs dans le Christ,

L'après-midi du 27 mars 2004, alors que j'effectuais mon chemin de croix quotidien demandé par Notre-Dame pour cette période de Carême, et alors que la vision promise à la 12e station du chemin de croix se déroulait à nouveau sur le terrain extérieur de Schoenstatt à Armadale, dans l'ouest de l'Australie, une autre révélation extraordinaire s'est produite que, conformément à la demande de Notre-Dame d'ouvrir mon cœur et mon âme à tous, j'ai le plaisir de partager avec vous.

La scène que je vais décrire est, et a certainement été, très surprenante et extrêmement douloureuse au moment où je l'ai vue et ressentie. Dans cette vision, j'ai vu notre Seigneur Jésus-Christ pendu à la croix. C'était comme si j'avais fait un zoom, comme un appareil photo peut faire un zoom sur une image, mais dans ce cas sur un gros plan du dos de Jésus, où je pouvais clairement voir qu'il n'avait que des lambeaux de peau sur son dos, alors que la plus grande partie de son dos était constituée de chair exposée, avec une multitude de coupures manifestement profondes causées par la flagellation qu'il avait si cruellement et si injustement reçue. Et de ce point de vue, je pouvais clairement voir que le bois de la croix derrière Son dos était plein d'entailles et de nœuds, et que la surface était complètement éclatée comme des échardes de bois de chauffage fendues par une hache.

Encore sous le charme de ce que je viens de décrire, j'ai ensuite vu Jésus grimacer de douleur et Son dos en même temps. En effet, la chair ouverte de son dos était meurtrie par la surface rugueuse et inachevée de la croix. Et en même temps, je pouvais l'entendre crier d'une voix terriblement perçante et angoissante alors que la douleur traversait son corps sacré. Mais comme si le fait de voir et d'entendre cela n'était pas assez douloureux pour moi, je pouvais réellement ressentir sa douleur en le voyant et en l'entendant.

Mes chers frères et sœurs en Christ, je ne peux même pas vous décrire de façon adéquate l'effet que cette expérience a eu sur moi à ce moment-là, maintenant après l'événement, et je suis absolument certain qu'elle aura sur le reste de ma vie à partir de maintenant.

Cette apparition de voir et de sentir réellement l'agonie du Christ a duré, me semblait-il, des heures, alors que je voyais et sentais l'agonie de chaque mouvement que notre Seigneur faisait, chaque fois dans une vaine tentative de prendre une position plus confortable ou moins douloureuse. À chaque mouvement, Il émettait un terrible cri de douleur atroce, une douleur si atroce qu'elle était tout simplement implacable. Lorsqu'il bougeait le dos, les clous de ses poignets craquaient et, apparemment involontairement, ses mains crispées s'ouvraient, d'où la douleur descendait simultanément le long de son bras jusqu'à ses épaules et son cou, puis le long de sa colonne vertébrale, sur ses fesses exposées (il était complètement nu sur la croix), avec lesquelles il essayait de supporter le poids de son saint corps, dans son aine, puis le long de ses cuisses et de ses jambes, jusqu'à ce qu'elle atteigne enfin ses pieds. Une fois que ces douleurs lancinantes ont atteint Ses pieds, elles ont fait tressaillir Ses pieds, ce qui à son tour a envoyé une douleur lancinante et atroce le long de Ses jambes à travers les clous dans Son pied. C'est ainsi que le processus de douleur atroce a continué dans la direction opposée à celle où il avait commencé, avec les soubresauts de son dos contre le bois brut et éclaté de la croix.

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Pendant tout ce temps, alors que je regardais cette agonie totalement inhumaine, je pouvais en fait ressentir, en même temps que Mon Seigneur, notre Seigneur, chaque mouvement agonisant de mon propre corps, mais sans aucun doute pas une douleur aussi profonde et intense que celle qu'Il endurait. Son Très Saint Visage était complètement recouvert de Son Saint Sang, avec tant de blessures profondes résultant à la fois des coups de fouet qu'Il avait reçus et de la façon cruelle dont les soldats romains ont dû appuyer sur la couronne d'épines pour la faire pénétrer dans son crâne. Toutes ces immenses tortures ont fait que son très saint visage était complètement tordu et déformé par la douleur, et plus il criait cela, plus son visage se déformait.

Il criait si fort pour que la douleur s'atténue, mais plus il criait, plus la douleur augmentait et plus il y avait d'écorchures et de piqûres sur son saint corps à cause des cris. Puis son saint corps s'est momentanément affaissé à cause de l'épuisement dû aux cris et aux souffrances atroces, sa sainte tête est tombée en avant sur sa poitrine tachée de sang, et pendant un bref instant, il y a eu une pause dans les cris - mais seulement pour un court moment, car il a alors commencé à s'étouffer, et en essayant d'inspirer de l'air dans ses poumons, il a commencé à étouffer du mucus et du sang, ce qui à son tour l'a fait tousser. Cela a déclenché une réaction en chaîne d'agonie, de douleur et de cris renouvelés, car son saint corps a été abrasé et perforé sur la surface rugueuse de la croix de bois par la toux.

En regardant cette torture des plus inhumaines, j'ai ressenti une fois de plus toute la douleur qu'il endurait. Puis, comme si cette scène n'était pas assez horrible, j'ai vu Notre Dame, qui a vu la même chose que moi, lever les yeux vers Lui. Et tandis que notre Seigneur criait, elle a également crié avec lui dans l'agonie et le tourment, voulant lui ôter la douleur autant que n'importe quelle mère aimante sur terre aurait voulu le faire lorsqu'elle a elle-même été témoin d'une telle abomination avec ses propres enfants. Ensuite, Notre Dame, toujours en pleurs, a essayé de tendre la main et de toucher les pieds de Notre Seigneur pour soulager la douleur. Lorsqu'il a vu cela, son saint corps a tressailli en prévision de la douleur causée par le contact de la main de sa mère sur la plaie ouverte. Et ceci, à son tour, a causé encore plus de blessures à son dos et encore plus de cris de douleur. Cette nouvelle explosion de cris et d'angoisse a alors à son tour causé à la Vierge encore plus de chagrin et de pleurs face à son impuissance totale. Elle était dans un état de désespoir total et son cœur était complètement déchiré par la douleur, car elle se sentait complètement impuissante à essayer d'enlever la douleur, l'agonie et la souffrance de son Fils bien-aimé, Notre Seigneur. À son tour, malgré ses atroces souffrances physiques, notre Seigneur avait le cœur brisé et était consterné. Voyant l'impuissance de sa mère bien-aimée à l'aider, il se sentait également impuissant à lui ôter sa douleur et son chagrin.

Cette scène, que j'ai essayé de décrire si précisément, avec les insuffisances de la langue anglaise (allemande) pour trouver des mots pour décrire mes sentiments et mes sensations, semblait durer des heures, bien qu'en temps réel et en réalité elle n'ait duré que quelques minutes, me laissant complètement vide physiquement, émotionnellement, et surtout spirituellement. Je pouvais à peine me lever du sol dans ma position humblement prosternée devant la croix, car non seulement je pleurais sans retenue, mais je me déchirais à chaque membre comme si j'avais été frappé à mort.

Mes chers frères et sœurs en Christ, cette expérience, qui devait se répéter le lendemain à la 12e station, était si réelle que si quelqu'un pouvait voir et ressentir ce que j'avais vécu, et ainsi se rendre compte de ce que le péché fait vraiment à Notre Seigneur et ensuite à Notre Dame, je crois vraiment que nous réfléchirions tous longuement et sérieusement avant de pécher à nouveau. Même si Notre Dame ne me l'a pas dit, du moins à ce jour, je suis néanmoins convaincu que cette expérience serait sans aucun doute une pénitence bien plus appropriée pour mes péchés que n'importe quelle forme de pénitence que n'importe quel prêtre m'a jamais demandé de faire par le passé.

Merci beaucoup, mes chers frères et sœurs en Christ, de m'avoir permis de partager avec vous cette expérience des plus extraordinaires. Et j'espère qu'elle vous sera utile à tous.

Je prie, Sainte Mère, pour que ceux qui souhaitent lire ou entendre tes messages les reçoivent avec tes bénédictions, et que leurs cœurs soient également remplis de tes grâces et de ton amour.

Anne continue d'expier pour l'Église et le monde.

Source : www.anne-botschaften.de

Sa Sainteté le Pape Paul VI a confirmé le 14 octobre 1966 le décret de la Sacrée Congrégation pour la promulgation de la Foi(Acta Apostolicae Sedis n° 58/16du 29 décembre 1966) qui permet la publication d'écrits concernant les manifestations surnaturelles même si ces écrits ne sont pas approuvés par le "nihil obstat"des Autorités ecclésiastiques.